Partage de nouvelles.

Voici un exemple de la confiance que nous accordons à nos amis sur les réseaux sociaux.

Voici un fait que j’ai remarqué dans mon cercle d’amis sur la communauté de Facebook il y a plusieurs  mois.

Plusieurs articles sont partagés, sans même être lus. Récemment nous avons connu le phénomène du journal de Mourreal « https://www.facebook.com/JournaldeMourreal/?fref=ts ».

Aujourd’hui presque tout le monde sait que les nouvelles sur cette page sont fausses.  Mais il y a quelque mois, la page était relativement nouvelle et l’on pouvait voir plusieurs personnes partager les articles, non pas parce qu’il les trouvait drôles ou amusants, mais parce qu’il était vraiment en furies. J’ai trouvé ce phénomène assez comique.

C’est une belle preuve que plusieurs écrits peuvent être partagé par des milliers de personnes sans même qu’il les soit lue, seulement parce qu’ils ont confiance en la personne qu’il l’a partagé.

Il clique sur partage seulement en voyant le titre ou la photo de couverture, lorsque celui-ci provient d’un ami ou quelqu’un en qui ils ont confiance.  

C’est une belle preuve qu’avec une photo accrocheuse, un bon titre et plusieurs ami ou ‘follower », notre article peut faire le tour du web se fessant partagé de mur en mur. Par contre il est quand même difficile de savoir le pourcentage de personne qui ont fait une lecture complète.

Les nouvelles sur les médias sociaux ne sont peut-être pas aussi étoffées et bien réaliser que celle des médias traditionnels, mais elles sont tellement plus divertissantes. Cela explique sûrement le fait que certaines nouvelles « ici je ne parle pas des fausses nouvelles comme celle du journal de Mourreal mais de vraies nouvelles » soient plus partagées que celle des médias traditionnels.

J’ai hâte de voir qu’elle sera la prochaine évolution en ce domaine et de qu’elle façon les médias traditionnels vont s’adapter.

Ce billet est une réponse au billet https://neutralitereso.wordpress.com/2015/03/14/2-niveaux-de-confiance-sur-le-web-social/
de l'élève :  phfle1