dimanche 3 avril 2016

Les biens faits de l’utilisation des réseaux sociaux par les forces de l’ordre.

Introduction
Depuis leurs créations, les réseaux sociaux ont apporté beaucoup de changement dans nos vies, modifiant notre façon de faire dans plusieurs domaines. Les réseaux comme Facebook font en sorte que tout ce que l’on fait devient public. Même si vous n’êtes pas membre d’un réseau social, « ce qui est très rare de nos jours », vos amis peuvent tout de même mettre une photo de vous et vous « taguer » sur celle-ci en inscrivant simplement votre nom. Donc même sans être abonnée à un réseau social, les gens peuvent apercevoir vos actions sans même que vous soyez au courant.
Il y a du bon et du mauvais de cette nouvelle tendance. Plus les années passent, plus avoir une vie privée devient difficile.  Un des côtés positifs de cette tendance est qu’il est de plus en plus facile de voir les personnes sur leurs vrais jours, mais d’un autre côté cela laisse la place à beaucoup de préjuger et de mauvaises interprétations.
Par contre le fait que plus personne ne soit anonyme à tout de même plusieurs points positifs, comme lorsque quelqu’un a commet un crime « vole, agression ou même meurtre ». Il y a presque toujours une caméra, un cellulaire ou quelqu’un qui a vu quelque chose de suspect se produire avant ou après le crime. Avec l’aide des réseaux sociaux, les informations deviennent publiques et le criminel est beaucoup plus facilement identifiable.
Décrivez le milieu en question.
Le but de mon essai est d’exposer les bienfaits des réseaux sociaux lorsqu’ils sont utilisés par les forces de l’ordre. Avec les réseaux sociaux, chacun de nos actes est susceptible de devenir public. Cela a du bon et du mauvais, dans mon essai je vais me concentrer sur le côté positif de la chose.
Par exemple, lorsque la police demande l’aide de la communauté pour retrouver un individu. La vitesse à laquelle la nouvelle peut se propager est surprenante. Les réseaux sociaux sont l’outil le plus puissant auxquelles nous avons accès, s’il est bien utilisé il peut même faire des miracles.
Tendances 
La grande tendance présentement est l’entre-aide entre les membres de la communauté lorsqu’un crime est commis.
Voici quelques exemples qui démontrent le pouvoir que la communauté peut avoir lorsque tout le monde va dans le même sens.
Vol à l’étalage
Souvent lorsqu’un vol à l’étalage est commis le propriétaire du commerce met en ligne une photo ou un vidéo provenant de ses caméras de surveillance pour retrouver le suspect.
Les images font rapidement le tour de la communauté et le suspect est presque toujours très vite retrouvé.
Voici un exemple :
Voici un extrait du site cité plus haut :
« Les images se sont répandues comme une traînée de poudre, si bien que la vidéo avait été visionnée plus de 100 000 au moment d'écrire ces lignes lundi soir.
Il aura donc fallu moins de 48 heures pour retrouver les coupables, deux femmes dans la soixantaine, qui auraient avoué avoir des problèmes de jeu.
Elles ont décidé de rembourser la totalité de leur butin au propriétaire qui a décidé de ne pas les poursuivre. »
C’est une belle preuve de ce que les réseaux sociaux peuvent faire en parallèle à notre système de justice.
Alerte Amber
Désormais, chaque alerte Amber est partagée sur Facebook.
Dans plusieurs cas les informations données par la communauté ont permis de retrouver une personne disparue.
Voici un exemple que j’ai trouvé sur le site de radio Canada.
Voici 2 extraits provenant du site cité plus haut :
Le premier :
« Nous savons que lorsqu'un enfant est porté disparu, la chose la plus importante que nous pouvons faire est de rendre l'information publique le plus rapidement possible. »
Le deuxième :
« Le cas de la petite Victoria
L'histoire de la petite Victoria est citée en exemple par Facebook pour justifier sa participation aux alertes Amber.
C'est grâce à des informations vues sur Facebook qu'un groupe de quatre jeunes a réussi à identifier la suspecte, qui a ensuite été arrêtée par les policiers.
Présents lors de l'annonce, la famille de la fillette était très heureuse de cette nouvelle initiative de Facebook. »


L’exemple ci-haut démontre parfaitement le côté positif du fait que plus rien ne soit privé.
Sans Facebook est-ce qu’il aurait pu retrouver la petite Victoria ? Peut-être que oui, mais ça aurait été beaucoup plus long et compliqué. Peut-être que le temps supplémentaire requis lui aurait été fatal.
La seule chose qui est sûre c’est que grâce à la communauté et les réseaux sociaux une vie a été sauvée.


Police
La police utilise parfois les réseaux sociaux pour résoudre certains crimes, mais je crois qu’ils ne les utilisent pas à leurs pleins potentiels.
Les policiers devraient ce service davantage des réseaux sociaux afin de résoudre des crimes graves. Il y a de plus en plus de cellulaires et de caméra de surveillance partout, si on les combine c’est 2 éléments avec la communauté, il est très rare de ne pas réussir à avoir les informations désirées sur quelqu’un.
Voici un site qui utilise la communauté pour les aider les forces de l’ordre.

Ce site à 2 fonctions principales, la première qui nous intéresse plus ou moins dans le cas présent est de donner des nouvelles. La seconde par contre est bien plus intéressante, le site demande l’aide de la communauté pour les aidée dans la résolution de certains crimes.
Voici 2 exemples du site demandant l’aide de la population.
Dans le premier exemple, il demande l’aide de la population pour retrouver une personne disparue
Dans le deuxième exemple, il demande l’aide de la population pour identifier des personnes lors d’une invasion de domicile.
Dans les 2 cas ci-haut, la communauté a permis de résoudre le crime.
De nos jours les policiers utilisent fréquemment les réseaux sociaux pour retrouver des individus qui on commit des crimes de moindre envergure. Par contre, ils ne les utilisent pas suffisamment, pour trouver des preuves ou des suspects lors de crime grave comme un meurtre ou un viol.
C’est la prochaine étape à franchir pour eux !


Quelles structures de communication (formelles et informelles) y sont établies ?
L’action d’utiliser la communauté pour aider la justice est une action formelle, car la l’action provient d’une entreprise « la police, un poste de nouvelle, etc. », et les individus touchés sont les gens qui dans ce cas sont perçus comme les employés.
Mais ce qui rend l’action d’utiliser les réseaux sociaux pour ce type de nouvelle encore plus puissante est que c’est une nouvelle informelle en même temps. Les gens vont s’en parler dans leurs familles, autour d’une machine à café ou même autour d’un verre au bar.
Quels sont les rôles et les besoins des acteurs ? Où est dirigée leur attention ?
Les acteurs sont les utilisateurs qui partagent la nouvelle.
Leurs attentions sont dirigées vers le site ou la personne qui demande l’aide de la communauté.
Leurs rôles sont simplement de partager la nouvelle et de dévoiler de l’information s’ils en ont.
Sur quoi repose la pérennité des structures actuelles ?
La pérégrinité repose sur les réseaux sociaux et les interactions entre les gens, tant que les gens vont aller sur les réseaux sociaux et qu’ils vont partager les nouvelles la pérennité va être conservée.
Quelles tendances pouvez-vous observer à ce stade ?
Lorsque la police demande l’aide des gens sur les réseaux sociaux, l’engouement créé est incroyable. C’est surprenant de voir à quel point une nouvelle se propage rapidement. Nous pouvons même voir des personnes qui normalement sont totalement inactives sur les réseaux sociaux partager une nouvelle, car celle-ci touche à un sujet qui leur tient à cœur.
Le sentiment d’appartenance est un point non négligeable au fait qu’une nouvelle provenant de la police soit partagée si rapidement, qui n’a jamais subi un crime, comme par exemple se faire voler quelque chose.
Par contre ce genre de nouvelle n’arrive pas tous les jours, si jamais ne cela devient trop fréquent peut-être que le partage va se faire moins rapidement. Mais ce n’est qu’une supposition.


Quelles sont les forces ou les volontés sous-jacentes à ces tendances ?
La force de cette tendance est que les gens en ont marre de voir tout s’est « crotté » faire des crimes et s’en sortir si facilement. La vitesse à laquelle ce type de nouvelles se partage est une belle preuve que les gens se soutiennent et qu’ils sont prêts à s’aider dans le besoin.
Pour être efficace, il y a 2 points simples à faire pour la communauté.
  • Partager la nouvelle
  • Divulguer de l’information si nous en avons.


Changements que le web social pourrait apporter pour un des milieux dans lequel vous évoluez sur trois échelles de temps différentes :
Un an :
Dans la prochaine année, il n’y aura pas beaucoup de changement sur l’utilisation des réseaux par la justice, car les gros changements ont déjà été effectués dans les années précédentes.
Lors des 2 ou 3 dernières années, nous avons assisté au début la collaboration entre les forces de l’ordre et de la communauté. Cette collaboration a été un franc succès sinon elle se serait déjà arrêtée.


Cinq ans :
Dans les 5 prochaines années, il va y avoir des changements majeurs.
  • La commuter va être de plus en plus sollicité pour aider les policiers à trouver des indices lorsqu’il y a des crimes graves.
  • Dans les cas de disparition, l’efficacité des réseaux sociaux n’est plus à prouver. Dans 5 ans ça va être la même chose pour plusieurs autres types de crime « meurtre, viol, fraude, etc. ».
  • Ils vont créer des nouveaux emplois pour filtrer toute l’information provenant des réseaux sociaux.
  • Ils vont créer un site pour dénoncé, les comportements louches afin de prévenir les actes terrorisme.
  • Les gouvernements des pays vont trouver un moyen d’avoir accès aux informations contenues dans les réseaux sociaux pour augmenter notre sécurité. Cela va avoir un effet positif pour combattre le terrorisme.
  • Ils vont créer un site pour faire le recensement des criminelles connu et peut être même le mettre public dans certain pays.


Vingt ans :
Théorie 1
Je crois que chaque ville va être équipé de millier de caméra qui films 24 sur 24 chaque recoin.
Avec l’aide de c’est caméra, les policiers vous avoir beaucoup de matériel à partager sur les réseaux afin de récolter l’information de la communauté.
Bien sûr les petits villages et surtout les rangs ne seront pas dotés de tous ces équipements à la fine pointe de la technologie, mais on ne sait jamais.
Il y a déjà des villes qui installent des caméras partout alors dans 20 ans c’est sûr que cette tendance ne sera pas seulement pour les quartiers favorisés, car de toute façon les crimes se déroulent beaucoup plus souvent dans les quartiers pauvres.
La combinaison de toutes ces caméras et des réseaux sociaux va être fort utile à la justice.
Théorie 2
Rêvons un peu !
Nous connaissons tous Google Earth, en 2035, il va avoir des satellites qui filment toute la planète avec une résolution extraordinaire.  Grâce à ces satellites, il sera possible pour les services secrets de voir ce qui s’est passé à une heure donnée à un endroit donné.  Il va être possible sélectionner un endroit sur la terre et de faire reculer le vidéo du satellite qui filmait à cet endroit jusqu’à l’heure voulue.  Grâce à la qualité ahurissante de la caméra du satellite, ils vont faire un immense Zoom sur l’endroit désirer et regarder le vidéo en temps réel avec une image très claire. Ils vont ensuite partager ce vidéo sur les réseaux sociaux pour avoir l’identité et toutes les informations concernant le suspect.
Bien sûr cela ne permettrait pas de voir à l’intérieur des édifices, mais si l’on combine les réseaux sociaux, les cellulaires et les caméras de surveillance à l’intérieur des bâtiments le résultat pourrait être surprenant.
Les réseaux sociaux sont là pour rendre public tout ce qui est privé, imaginé si on peut les combinés avec des puissants satellites et des caméras dans chaque recoin des édifices.
De plus en 2035 tout le monde va être sur les réseaux sociaux, il va être encore plus facile d’avoir d’accès à l’information sur quelqu’un.
Théorie 3
En 2035, Il ne restera plus qu’un seul grand réseau social unique pour toute la planète. Les Facebook, LinkedIn et les grands réseaux chinois vont disparaitre petit à petit ou être achetés, par un regroupement de pays comme l’ONU pour être remplacé au profit d’un immense réseau unique.
Une fois le réseau unique en place, les propriétaires vont avoir accès à toutes les informations sur les usagers. Une fois tout en place, à partir d’une simple photo prise par une caméra de surveillance, ils vont pouvoir faire une recherche parmi toutes les photos ou vidéos disponibles pour trouver un match et ainsi identifier le suspect.
Avec ce réseau unique il va être très facile pour eux d’entré en contact avec des amis, famille ou même l’employeur de la personne recherché.


Imaginé si on combine ces 3 théories ensemble.


Y aurait-il une révolution dans les façons de faire,
Les gens aiment s’aider et les réseaux sociaux sont un outil parfait pour cela, plus il y a de personne abonnée plus l’aide va être efficace.
La révolution dans ce domaine sera dans la manière dont les policiers vont utiliser les réseaux sociaux dans les prochaines années. Mais chaque fois qu’ils demandent l’aide de la communauté, ils obtiennent d’excellents résultats.
Dans quelque année, une autre révolution va avoir lieu, les gouvernements vont avoir accès à toute l’information privée des gens.
Les tendances montantes arrêteront-elles leur progression à un certain point, bien avant d’avoir conquis tout le monde ?
Je crois que certains pays ne pourront jamais profiter de toutes ses technologies du moins pour cette génération-ci et la prochaine. Ils ne sont pas assez éduqués et riches pour que cela se produise au même niveau qu’ici.
Dans les pays industrialisés comme ici, cette progression ne s’arrêtera pas, car même si une personne n’est pas sur Facebook, ses amis ou sa famille peuvent publier des informations sur elle. Un autre fait à ne pas négliger est que cette personne ne sera même pas au courant que l’on vient de publier une de l’information la touchant.
Quels catalyseurs ou freins entrevoyez-vous ?
Le seul frein possible serait une loi qui bloquerait internet ou les réseaux sociaux un peu comme ce qui se produit en chine, mais nous savons tous que cela n’arrivera pas.
Certains des impacts prévisibles peuvent être positifs et d’autres négatifs.
Le principal impact négatif sur l’utilisation des réseaux sociaux par les policiers, est qu’il va être facile tenter de faire accuser à tort une personne, ou de salir sa réputation.
L’autre impact négatif est que la vie privée ne le sera plus vraiment.
Les impacts positifs principaux sont :
  • Les criminels vont être plus facilement retrouvés
  • Les crimes vont peut-être diminuer. Lorsque les criminels vont voir avec quelle facilité ils se font retrouver
  • Les personnes disparues vont avoir un plus gros pourcentage de chance de se faire retrouver.
  • Plus les criminels vont se faire arrêter grâce aux réseaux sociaux plus les gens vont se soutenir et porter attente a ce qui se passe autour d’eux.
Les autres points positifs sont marqués plus haut dans mon essai.


Vous pouvez également défendre la position que, dans le milieu que vous avez choisi
Je crois qu’on n’arrête pas le progrès bien sûr il n’y a pas que tu positif à ce que les forces de l’ordre aient accès à tout, mais lorsque nous n’avons rien à cacher et qu’on s’assume dans nos actes je ne vois pas où est le problème.
Dans les prochaines années, j’espère que la justice va se servir encore plus des réseaux sociaux.
Il n’y aura pas de changements significatifs.
Ce n’est pas un changement significatif qu’il va se produire, mais une progression. Plus les crimes vont être résolue grâce aux réseaux sociaux plus les gens vont y penser 2 fois avant d’en commettre un. Lorsque quelqu’un commettait un crime il y a 10 ans, son nom était simplement inscrit dans le journal et s’il n’était pas chanceux il y avait une photo. En 2015 sa photo, son profil contenant toutes ces informations sont partagés par des millions de personnes.  Cela peut avoir un effet dissuasif pour plusieurs criminels surtout s’il on quelque chose à perde. Dans quelque année cela va être encore pire, son nom va être inscrit sur un site public fessant le recensement des criminels.
Vous pouvez faire des parallèles avec des changements déjà observés dans d’autres contextes d’activité humaine.
Les états unis, ont demandé à Apple, il y a quelque semaine de pouvoir décrypter un téléphone, Apple n’a pas dit officiellement les avoir aidés, mais il on réussit avec l’aide d’une personne tierce inconnue. C’est une preuve que l’information contenue dans les réseaux sociaux et dans notre cellulaire n’est plus vraiment privée.
Ce n’est probablement que le commencement.
Conclusion
Les réseaux sociaux sont là pour rester avec tout le positif et le négatif ce que cela implique.
Malgré tous les nouveaux paramètres de confidentialité plus les années vont passer plus les informations sur les réseaux sociaux vont devenir public. Les policer commence seulement à exploiter le potentiel possible des réseaux sociaux.

Pour ce qui est des gouvernements, je crois que si ce n’est pas déjà fait les Nations unies et leurs alliés doivent avoir accès à pas mal tout ce qu’on peut publier et s’il s’en service de la bonne façon il vont avoir plus de chance de prévenir certain événement.

samedi 5 mars 2016

Remise de l'activité-B

Expliquez les composantes de votre initiative et leurs liens entre eux. Incluez des liens.
Mon initiative consistait à démontrer aux gens que le programme de registre des armes à feu est complètement inutile et que les programmes informatiques réalisés par le gouvernement provincial sont presque toujours déficitaires. J’ai composé un article qui démontre l’échec du registre fédéral et qui démontre que les différents projets informatiques réalisés par le gouvernement provincial ont coûté des surplus astronomiques.
Voici le lien de l’article en question.
J’ai créé une page Facebook contre les dépenses inutiles du gouvernement provincial
Voici le lient de la page en question


Décrivez sommairement les activités que vous avez menées.
J’ai partagé le lien de l’article sur Facebook, Twitter, Google+, Diigo et dans la section commentaire de plusieurs articles en lien avec les armes à feu sur des sites de nouvelles comme la presse, la journée du Québec,radio canada etc.
J’ai aussi trouvé un groupe Facebook qui avait le même but que moi.
Voici le lien
J’ai essayé d’entrer en contact avec le groupe pour qu’il publie mon article sur sa page, mais malheureusement, ça n’a pas marché.  C’est dommage, car la page de ce groupe a plus de 18 500 « followers ». Par contre, j’ai essayé d’attirer l’attention des personnes de cette page à aller lire mon article en partageant mon lien permanent en réponse aux nouvelles qu’ils publiaient sur leurs pages Facebook.
Mon groupe Facebook n’a malheureusement pas su attirer l’attention espérée. L’autre groupe Facebook a 18 500 « follower », bonne notoriété et bénéficie de la publicité des radios de Québec.
Voici les moyens de communication que j'ai utilisés.
J’ai partagé mon article sur :
  • Facebook
  • Twitter
  • Google+
  • Sur des médias traditionnels comme sur le site Radio-Canada, mais dans la section commentaire
  • Sur diigo
Voici une image de ma communauté sur Google+
je n’ai pas vraiment de contact sur Google+, donc je n’ai pas réussi à susciter d'engouement


Voici une image du partage de mon lien sur la plateforme Diigo.
Voici une image de mon initiative sur twitter, mais c’est un peu le même phénomène que sur Google+ je n’ai aucune notoriété sur ce média social.
Voici une image de mon initiative sur Facebook
Analysez les statistiques de fréquentation sur votre page centrale. Incluez des figures. 
Voici les statistiques que mon initiative.


Quelles ont été les tendances ? 
Voici la tendance des visiteurs :
Voici le nombre de visiteurs depuis la création de mon article :
Lorsqu’on regarde les « peak » il s’agit des jours ou j’ai publié mon article soit sur Facebook, soit en réponse à un commentaire de la page « TousContreUnRegistreQuebecoisDesArmesAFeu » ou soit en réponse à un article à propos du registre des armes à feu sur le site d’un média traditionnel. 

Malheureusement, je n’ai pas réussi à créer un engouement assez fort pour faire en sorte que tout le monde partage mon article.
Les statistiques démontrent que ma page a été vue 102 fois au total.



D’où provenaient les visiteurs ? 


Voici la provenance par pays des visiteurs par pays :


Je suis très surpris de voir que mon article a presque été vu aussi souvent à l’extérieur du Canada qu’à l’intérieur.
Grâce à cette statistique, nous pouvons voir que les médias sociaux sont vraiment mondiaux et que n’importe qui dans le monde peut lire votre article.



Quels référents se sont avérés les plus importants ?


Ici nous pouvons voir que le référent le plus important est Facebook, suivi de Radio-Canada et de Google.
Les visiteurs provenant du site de radio Canada proviennent du fait que j’ai publié mon article en commentaire sur leur site, sur des liens traitant du registre des armes à feu.
Voici un exemple de commentaire que mon initiative a suscité sur Facebook.


Voici d’autres statistiques que j’ai pu obtenir sur mon initiative
Voici les navigateurs à partir du qu’elle mon article a été vu :
On peut voir que mon article a été vu par plusieurs plateformes différentes, mais Windows reste la plus populaire.
Je suis un peu surpris du faible score de l’iPad. J’aurais pensé qu’il aurait été plus élevé.


Identifiez les principaux facteurs qui, selon vous, ont pu aider ou nuire à la visibilité de votre initiative.
Facteur aidant :
  • Mon sujet est un sujet d’actualité actuelle, donc il est plus facile de trouver des personnes intéressées par celui-ci
  • J’ai pu utiliser les publications de la page Facebook, https://www.facebook.com/TousContreUnRegistreQuebecoisDesArmesAFeu/?fref=ts
    pour essayer de promouvoir mon article
  • Il y avait plusieurs articles sur Wikipédia et dans les médias traditionnels pour m’aider à avoir des statistiques intéressantes pour produire un article de qualité
  • Le gouvernement fédéral a tenté de faire un registre il y a quelque année, donc j’ai pu me servir de leurs statistiques comme exemple.
Facteur nuisant :


  • L’initiative des radios de Québec et de Éric Duhaime est vraiment très bien organisée, alors j’ai n’ai pas vraiment sue tiré mon épingle du jeu, ils s'avaient beaucoup trop de budgets de temps.
  • Je n’ai pas vraiment de notoriété dans ce domaine alors c’est très difficile d’être crédible.
  • En dehors de Facebook, je n’ai pas vraiment de contact sur les autres plateformes de média social, par exemple Google+ et twitter. Je n’ai donc pas réussi à susciter de l’intérêt sur ses 2 plateformes malgré mes initiatives.
Conclusion
Cette activité m’a appris plusieurs choses, mais la principale est qu’il est très difficile s’établir une notoriété sur les médias sociaux en peu de temps.  

Pour y arrivé il faut rapidement il faut :
  • Être le premier à parler d’un sujet donné. 
  • Avoir une immense liste de contact.
  • Avoir un peu de chance
  • Avoir beaucoup de temps pour faire de la promotion ou un emploi qui permet d’être vraiment crédible dans le sujet donné
  • Avoir un ami ou un contact qui possède une bonne notoriété et qui veut bien nous aider.
Mais avec beaucoup d’effort et de temps, on peut obtenir une bonne visibilité. Une fois une bonne visibilité obtenue, on peut s’en servir pour faire valoir plusieurs causes différentes.